A la recherche d’en savoir plus sur le film Le Pardon ? Découvrez la page Wiki de Le Pardon (2018), avec les informations, synopsis, Acteurs, Casting, Date de sortie et projection, bande d’annonce, streaming et diffusion, tickets, backstage, photos rares et actualités a la une sur Celebrity Cult’.
Contenus de la page
Le Pardon Wiki
Le Pardon (arabe : سامحني ) est un film Dramique tunisien réalisé par
Najoua limam Slama le film était projeté dans les salles de cinéma en 2018.
L’histoire du film se base sur des faits du hasard qui fait à la fois mal et bien les choses. Cela semble invraisemblable et pourtant l’auteure du film narre des faits qui pourraient bien avoir eu lieu d’autant plus qu’elle fait des clins d’œil à la justice où un juge corrompu voudrait gagner la confiance de sa victime ayant purgé injustement d’une lourde peine. Cette victime est atteinte d’un cancer en dernière phase ! Mais reste sereine face à sa fin. Le juge fera tout son possible pour demander le pardon de sa victime. Mais les choses vont tourner autrement dans ce film déroutant et poignant.
Fiche et Données clés
- Titre original : Le Pardon
- Genre : Drame
- Réalisation : Najoua limam Slama
- Produit par : DIGIPRO – SVP – Abed Fahed
- Pays d’origine : Tunisie
- Durée : 100 min
- Sortie : 2018
Synopsis
Le Pardon ‘ est une histoire simple mais émouvante entre deux personnages : Mostari (Abed Fahd) archéologue qui venait tout juste de quitter la prison et ‘ Faouzi ‘» (Mohamed Ali Ben Jomâa), un juge corrompu à l’origine de l’emprisonnement injuste de Mostari, atteint du cancer.
A la phase terminale de sa maladie, ce dernier était serein face à sa fin alors que le juge faisait tout pour lui demander pardon. Un mot qui représente la clé essentielle pour la compréhension du film.
Casting & Acteurs
- Abed Fahed
- Saoussen Maalej
- Riadh Hamdi
- Meriem Ben Hassine
- Mohamed Maghraoui
- Sameh Sankari
- Dalila Meftahi
- Mohamed Ali Ben Jemaa
- Hakim Boumsaoudi
Vidéos et bande d’annonce officielle
Photos & Tournage
Résumé détaillé
A la suite d’une erreur dans les résultats de ses analyses médicales, Fawzi, un juge, se retrouve face à l’une des victimes de ses précédents procès. Cet homme, un dénommé Mostari, tout juste sorti de prison, souffrant d’un cancer en phase terminale, et se prépare à mourir. Fawzi cherche alors par tous les moyens à se faire pardonner auprès de lui.
C’est une histoire incroyable qui montre deux personnages principaux Mostari et Fawzi avec deux destins opposés, deux parcours, deux vies, l’un est bourreau, l’autre est victime… l’un est un juge corrompu ; l’autre est un archéologue passionné par son métier… Le film démarre sur une scène dans un tribunal, qui s’enchaine dans un cabinet médical où le médecin se trompant de radio de poumons entre deux malades, il s’avère que ce n’est plus le juge corrompu qui a un concert mais la victime Mostari… Le bourreau part en course effréné de sa victime quand il apprend que non seulement il a emprisonné Mostari injustement pendant dix ans mais en plus il s’avère qu’il a contracté un cancer, quelle tristesse… Le juge au fur et à mesure de la découverte de la vie de Mostar essaye de se rattraper en le protégeant, il le suit partout et l’observe.
A la mort de la mère de la femme de Mostari, Fawzi croit que c’est Mostari qui est mort en voyant le cercueil sortir de sa maison mais non ce n’est pas lui… Le réalisateur joue sur l’humour noir, sur le suspens, le film est sans concession jusqu’au-boutisme, le bourreau culpabilise et pleure, il se confie à sa maitresse, il essaye de se réfugier dans sa ferme, dans les bras de sa copine divorcée avec une fille malgré qu’il soit marié à une belle femme mais comme il le lui dit.
« je regrette de t’avoir connue »… sa femme et son frère l’ont poussé à corrompre l’appareil judiciaire…ce juge est perdu… Il veut demander pardon à sa victime… jusqu’au bout, on suit Mostari dans les préparatifs de l’ensevelissement de sa mère, quand il est assis pour la veillée funèbre de sa mère, il est dans la grotte avec les bougies, le juge décide enfin d’aller lui demander pardon… Quand il s’aperçoit qu’il est déjà mort assit sur sa chaise comme un roi, qu’il est digne, qu’il est mort dans la dignité… Najwa Slema, la réalisatrice a rendu ce moment solennel, une joie, une fête, une leçon de dignité, une grosse claque pour les bourreaux…
Les utilisateurs ont aussi consulté : Porto Farina, Prix du Public 2019 : Meilleur film tunisien de l’année